tag:blogger.com,1999:blog-23297198.post526972870363584362..comments2022-11-05T18:28:22.554-07:00Comments on La psychanalyse jungienne: La femme et son ombre - Silvia Di Lorenzo -Isabelle Basirico http://www.blogger.com/profile/15974168619142610555noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-23297198.post-50790020526591645112014-12-07T05:54:22.007-08:002014-12-07T05:54:22.007-08:00Oui, Isabelle.
On peut sans doute se dire que le ...Oui, Isabelle. <br />On peut sans doute se dire que le désir ce puissance et de prestige d’une femme naît souvent d’un besoin de reconnaissance d’elle-même à ses propres yeux et aux yeux des autres, besoin causé par son effacement d’elle-même derrière le rôle mal assumé, mal vécu, de n’être "que" l’anima de l’homme. Changer cela est de la responsabilité de toute femme, mais on peut ajouter qu’en encourageant chez une femme le choix de ce rôle effacé, voire en l’imposant parfois, l’homme est également l’artisan de son propre malheur, sans bien s’en rendre compte...<br /><br />Amezeg :-) <br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-23297198.post-53177236568915606512014-12-07T05:14:13.344-08:002014-12-07T05:14:13.344-08:00Bonjour Ariaga, et Amezeg.
Amezeg, le passage de...Bonjour Ariaga, et Amezeg. <br /><br />Amezeg, le passage de Jung que vous citez est tout à fait approprié. En effet, dans les rapports humains, la femme en préférant la plupart du temps, se vivre en tant qu’anima de l’homme, c’est à dire en renonçant à assumer la responsabilité d’elle même, permet aussi à son désir de puissance et de prestige resté dans l’inconscient d’exister et de se développer. <br /><br />Amitiés,<br />Isabelle Basirico https://www.blogger.com/profile/15974168619142610555noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-23297198.post-60334094858841244852014-12-07T00:28:23.375-08:002014-12-07T00:28:23.375-08:00Bonjour Isabelle,
Votre présentation de cet ouvr...Bonjour Isabelle, <br /><br />Votre présentation de cet ouvrage dont j’ignorais l’existence me donne envie de le lire un jour prochain. Ce que vous en dites à la fin de votre article m’a aussitôt rappelé un passage lu dans "C.G.Jung et la voie des profondeurs", au chapitre intitulé ‘Souvenirs des dernières années de C.G.Jung’, de la plume d’Aniela Jaffé qui fut alors sa secrétaire. Voici ce passage : <br />« Mon "initiation" à mon nouveau poste se déroula de façon brève et surprenante : Jung m’expliqua qu’il attendait de moi qu’à aucun moment et sous aucun prétexte je ne me laisse irriter par ses mouvements d’humeur ni, à l’occasion, par son "grumbling", ses gronderies. Et en outre il me demandait de veiller à ne pas me rendre indispensable. Aux yeux de Jung, cette visée féminine bien connue était le signe d’un appétit secret de puissance ; or une tendance, consciente ou inconsciente, à la puissance constituait à ses yeux une ombre épaisse, racine de maux nombreux, surtout dans les rapports humains. » (C.G.Jung et la voie des profondeurs, Éditions La Fontaine de Pierre)<br /><br />Amezeg<br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-23297198.post-45071790859750290302014-11-29T10:24:31.730-08:002014-11-29T10:24:31.730-08:00En effet, un livre très intéressant y compris la p...En effet, un livre très intéressant y compris la préface. Amitiés.Ariagahttps://www.blogger.com/profile/03158184753447854928noreply@blogger.com